L'encart pourrait tirer son histoire dans l'édition des petites brochures sans couverture, alors identifiées comme in-folio (4 pages) ou in-quarto (8 pages).
De cet héritage, l'encart en a, aujourd'hui, conservé l'esprit.
Il se veut à la fois décalé et culturel. Il se veut ouvert comme une parenthèse parmi les pages d'un magazine ou d'un catalogue.
Par conséquent, il est très souvent utilisé pour mettre à l’honneur des produits, des destinations, des parcours hors du commun, que ce soit dans les catalogues ou dans les magazines via les publicitaires.
Osez l'encart dans un catalogue, c'est offrir à celui qui le découvre une fenêtre, un regard, une pause permettant de mieux apprécier l'univers de la marque. L'encart a cette chance d'être vu à chaque fois que son catalogue est consulté. En d'autres termes, il a une influence continue sur les utilisateurs. L'exposition de l'encart et sa visibilité permanente en font un outil marketing et commercial puissant, d’autant plus quand il se détache, ce qui le rend nomade et indépendant.
L'ADN de l'encart est de se différencier de son hôte. Il y a pour l'encart, un exercice juste et subtil qui consiste à se faire remarquer sans "tirer vers lui toute la couverture".
Plusieurs marqueurs s'ouvrent aux concepteurs : le support papier, le grammage et l'embellissement de l'encart.
Vous allez aimer imprimer ... avec un encart !